SUR LE PONT DES LAMENTATIONS

Faux

Sur le pont des lamentations…

Depuis le Pont de la Liberté, avec son nouveau faux air enjoué, pantalonné d’un jaune rayonnant contradictoire de sa pensée, et accompagné de son mentor dogmatique, le conseiller départemental et ultra opposant municipal, M. Sainte-Cluque expose son mauvais savoir des finances publiques et plus particulièrement locales.

Faux

Héritier d’un bilan financier catastrophique sous la mandature municipale précédente, acteur principal de la décadence du Conseil Départemental, il ose la morale aux vertueux de l’équipe Nouveau Narbonne.

Pourtant, aussi assurément que le jaune est la couleur du soleil, de la vie et de la joie, M. Sainte-Cluque est l’ombre grisâtre qui plane sur la ville de Narbonne.

En effet, tout ce qui est dit dans le journal local, est faux. Absolument tout !

D’abord, sur la maîtrise des dépenses publiques que la ville a souhaité engager en contractualisant avec l’Etat, l’ultra-opposant a voté favorablement. Maintenant, il prétend que l’objectif est irréalisable. Certes, sa définition de la bonne gestion n’est pas la nôtre. La gabegie, le clientélisme, l’immobilisme sont les maîtres mots de la gestion des institutions que lui ou sa famille politique gère.

Chez nous, à Nouveau Narbonne, depuis 1971, l’exemplarité et la saine gestion ne sont plus des théories mais une réalité ancrée dans l’histoire de la ville.

Après avoir été la seule collectivité à baisser les impôts, nous nous sommes engagés à augmenter la qualité des services en rationalisant les dépenses. Ailleurs, dans les bastions du socialisme, on préfère taxer les contribuables narbonnais : à l’agglomération, avec la taxe d’enlèvement des ordures ménagères par exemple, ou au Conseil départemental, avec la surtaxe de séjour de 10%. L’inflation des impôts est la ritournelle de ces élus qui se nourrissent de leurs mandats.

Et au lieu de nous applaudir, voilà qu’il doute de nos actions à venir. Pessimiste ? Non, M. Sainte-Cluque n’est pas pessimiste de nature, il l’est par conviction politique !

Et pour illustrer sa démagogie, il invente des chiffres que de toute manière, il ne maîtrise pas. L’exagération est la marque du populisme. Chez M. Sainte-Cluque, elle est génétique.

Ensuite, les deux derniers apparatchiks du Parti Socialiste narbonnais déballent les soldes de la mauvaise foi politicienne en s’attaquant au projet de la Grande Salle. A la radio, hier, ils y étaient favorables. Aujourd’hui, dans la presse, ils ne le sont visiblement plus… L’argument ? Un budget de fonctionnement de la salle qui oscillerait entre 1 et 2 Millions d’euros. Faux. Même si nous notons une amélioration de l’exagération précédente (Avril 2017) qui tablait sur 2 millions minimum ! Comme nous leur avions annoncé puis affirmé publiquement, la Grande Salle sera donnée en gestion à un délégataire privé. La ville de Narbonne participera financièrement à hauteur des plages horaires qu’elle conservera pour l’animation municipale, pour un budget annuel compris entre 500 et 600 000 euros maximum.

Enfin, dans le costume du parfait manipulateur d’opinion, M. Sainte-Cluque et son acolyte agitent la peur comme ultime argument:  » La ville devra réduire drastiquement les subventions aux associations ! ». Faux.

Encore une fois, la Ville est le premier partenaire du tissu associatif. Elle participe financièrement ou par l’attribution de matériels, de salles, de prêts divers. L’équipe Nouveau Narbonne soutient plus que jamais ce dynamique esprit associatif qui règne à Narbonne et qui participe, à l’amélioration de notre cadre de vie et à son rayonnement.

Définitivement dans le passé, pessimiste par sa conviction politicienne,  impopulaire malgré ses efforts pour dissimuler son agressivité et sa haine des autres, M. Sainte-Cluque n’existe aujourd’hui que par la rumeur, la médisance et l’espace publicitaire que lui consacre généreusement le journal local.

Seuls les Narbonnais jugeront notre bilan.

Nouveau Narbonne travaille. Nouveau Narbonne agit.