Les voeux 2019 de Bertrand MALQUIER, secrétaire général de NOUVEAU NARBONNE.


Mes chers amis,

Tout d’abord, je tiens à excuser Didier Mouly, retenu par la cérémonie de la Sainte Barbe avec nos sapeurs pompiers. Il se joint à moi pour présenter nos meilleurs vœux à chacun d’entre vous.

Pour ma part, je forme le vœu que l’espéré et l’inespéré, tant dans les domaines de la santé que des vies personnelles et professionnelles, soient au rendez-vous de l’année 2019.

Que Nouveau Narbonne, à la veille de son demi siècle d’existence, puisse poursuivre sa longue route pour toujours servir l’intérêt général des narbonnais.

Je forme aussi le vœu, plus national, que la France se rééquilibre, se comprenne, s’accepte et se respecte. Ce n’est pas dans la division, le blocage, la délation, la violence et l’opposition que nous construirons la Nation de demain…mais plutôt, dans l’échange, l’écoute, la proposition et la co-construction. La haine ne peut être le moteur de la nécessaire réforme de nos institutions. De la même façon, la suffisance présidentielle et l’arrogance gouvernementale ne peuvent être les réponses à la souffrance populaire. Que 2019 soit une année tremplin pour construire un meilleur avenir et redonner de la joie de vivre, de la justice sociale, du pouvoir d’achat et de la liberté à tous nos concitoyens.

Je pourrais former le même vœu à l’échelon local. Malheureusement, une opposition bête, parfois méchante s’organise à Narbonne pour se présenter aux suffrages de 2020. Ils étaient socialistes, ils sont aujourd’hui associatifs, ils se moquaient de l’apolitisme, aujourd’hui ils s’en revendiquent, ils considéraient la Gestion comme l’ennemi du service public et lui préféraient la dilapidation électoraliste, aujourd’hui, ils l’écrivent en majuscule dans leurs vœux.

Ils, ce sont les survivants du Hollandisme, de Jacques Bascou à Alain Perea, de Nicolas Sainte-Cluque à Marc Ortiz. Sans parti fixe, ils s’abritent où le vent populiste les amène. Mais rassurez-vous malgré la guerre des égos, quelle que soit l’étiquette du moment, ce sont tous les mêmes !

Ils n’ont vécu ou n’aspirent qu’à vivre de la politique. Ils déconsidèrent l’intérêt local par ambition personnelle et politique. Ils baignent dans la contradiction.

J’en veux pour preuve les articles de presse de cette semaine. D’abord, concernant Marc Ortiz, vous êtes peut être comme moi, vous n’avez pas compris s’il prenait sa retraite politique ou s’il annonçait sa future retraite. Dans un cas comme dans l’autre, s’il ne siège plus, s’il ne participe plus, il doit s’abstenir de prendre des indemnités. D’un côté la politique le fait vomir, de l’autre, il a mendié à son maître sauveur, J Bascou, une indemnité coquette pour ne rien faire à l’agglomération depuis 2014. 

Sur le fond, il se retire de la vie publique en laissant une empreinte indélébile, ses multiples recours contre l’Arena de Narbonne. Il affirme, « des gens sont élus pour scléroser l’économie du Narbonnais ».

Et il prend pour exemple… le crématorium de Montredon.  Expliquez-moi comment un crématorium en régie est-il une source de développement économique du territoire ? En résumé de sa pensée, le seul investissement que pourrait porter le Grand Narbonne sur ce mandat, en l’occurrence un crématorium public, est un signe d’attractivité du territoire, un moteur de la dynamique économique… Une aberration. Le projet du crématorium de Montredon est une gabegie annoncée. Nous sommes contre effectivement. Là où le privé peut faire, en créant de l’emploi durable, au même coût pour l’usager, à la même qualité de service, sans dépenser l’argent du contribuable, le public doit raisonnablement s’écarter au bénéfice du professionnel du secteur.

Dans le prolongement de sa brillante sortie médiatique, il affirme concernant l’Arena, « pour le recours, je n’ai plus aucun espoir ». Lui emboitant le pas médiatique, mais à contre-pied, son camarade d’excitation, le très procédurier Nicolas Sainte-Cluque dégaine aujourd’hui, « je vais former un nouveau référé-suspension » contre la salle.

La morale socialiste de l’histoire, quand il n’y a plus d’espoir chez le banquier, on peut toujours compter sur l’avocat !

Mais ce harcèlement juridique a un coût ! La Ville doit se défendre et engager des conseils en défense devant les tribunaux. Plus grave encore, l’ARENA est aujourd’hui lancé. Sa construction est à 25% et sa livraison programmée pour la fin d’année 2019. Elle emploie 50 ouvriers permanents sur le chantier, elle permet aux nombreuses entreprises locales et aux artisans de bénéficier des retombées de cet investissement de plus de 24 millions d’euros. Demain, elle drainera des milliers de spectateurs de la Région entière, elle remplira les restaurants, les hôtels. Elle dynamisera l’économie locale, elle participera à l’attractivité de notre ville et son agglomération.

Mais ça, ni le retraité de la vie publique, ni le candidat procédurier ne le voient… tellement obnubilés  par la haine qu’ils entretiennent d’avoir échoué, quelques années plutôt, à diriger Narbonne.

Une autre opposition existe, nous ne l’oublions pas.

Elle est plus sournoise, plus démagogique, plus transparente…l’extrême droite. Ils n’existent pas dans le débat municipal alors qu’ils sont élus. Ils ne siègent pas. Ils n’ont d’ailleurs siégé qu’au commencement du mandat pour voter J. BASCOU, par intérêts familiaux, cousinage, lors de l’élection du Président de l’Agglomération. Pourtant, ils existeront en 2020. Pilotés depuis Paris, de nouveaux candidats apparaîtront sur la scène locale, sans en connaître les enjeux, l’histoire et bien évidement, sans programme local.

Nous serons prêts pour défendre les intérêts des Narbonnais et apporter un véritable programme de mandat, un véritable pacte municipal que nous respecterons, comme en 2014… comme depuis 1971.

Mais d’abord, nous serons prêts pour présenter notre bilan exceptionnel en 6 ans.  Exceptionnel, car nous aurons réalisé l’essentiel de notre programme. Exceptionnel, car nous aurons été la première mandature à réaliser des économies importantes dans le budget de fonctionnement, sans toucher aux subventions aux associations, sans abaisser le niveau du service public mais en optimisant la ressource municipale. Didier Mouly aura l’occasion de revenir plus en détail sur ce bilan dont je peux vous assurer que vous en partagerez la fierté, aux côtés de tous les élus qui y ont participé.

Nous nous devons aussi d’être plus mesurés car tout n’est pas parfait et loin de là. Nous ne serons jamais dans l’autosatisfaction béate. Sans l’exécutif de l’agglomération, la Ville a souffert pour réaliser fréquemment seule, parfois avec l’aide de la Région, quelques rares fois avec le département, exceptionnellement avec l’agglo, les investissements nécessaires à notre qualité de ville. Nous nous battons au quotidien pour renforcer le pouvoir d’achat des Narbonnais, en baissant l’impôt, en mutualisant les offres de santé et d’énergie  quand de l’autre côté, l’équipe socialiste communautaire augmente votre taxe d’enlèvement des ordures ménagères et dilapide l’argent public sans jamais vous proposer une amélioration concrète de votre quotidien.

Posez-vous une simple question, qu’est-ce que l’agglomération a fait pour moi depuis 5 ans ?

Votre silence répondra à notre objectif. En 2020, la ville-centre doit être au cœur de l’exécutif communautaire. Nous ne répéterons pas la chienlit actuelle dans laquelle les battus de 2014 ont érigé le Grand Narbonne en bastion de la résistance municipale socialiste, contre la volonté des électeurs !

Croyez-moi, nous sommes prêts !   

Nouveau Narbonne va revêtir ses habits de campagne.  Vous, mes amis, allez participer à faire savoir notre savoir-faire en matière de gestion.

A partir du Vendredi 1er février, date de la prochaine réunion, les rendez-vous de Nouveau Narbonne auront lieu tous les 15 jours. Notez-le dans vos agendas, communiquez sur les réseaux sociaux, faîtes participer vos amis, vos familles, vos voisins. Soyez les relais de notre philosophie, soyez les acteurs de la campagne.

Je sais pouvoir compter sur vous, Didier Mouly a besoin de vous, accompagnons-le jusqu’à la victoire.